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> Rouler à l'eau de pluie : réacteur hydrogène par électrolyse (alternateur auto) |
On se souviendra de l'électrolyse enseignée à l'école : des électrodes plongées dans de l'eau, alimentées en électricité, produisent un gaz enflammable, de l'hydrogène.
2H20 => H2 + 02
En fait c'est du dihydrogène qui brulera avec bien sur du NO2 et du CO tout de meme, car l'air ne contient pas uniquement de l'O2 ...
Bref ici c'est
l'électricité qui va briser les liaisons, alors que pour
le pantone l'énergie nécessaire est la chaleur perdue du
moteur.
Le gaz produit est injecté directement dans le conduit d'air, il
n'y a toujours pas de stockage de gaz inflammable comme pour le
pantone. Ainsi dans la chambre de combustion, le piston ne comprime
plus le jet grossier "préhistorique" de liquide mais un gaz qui
emplit parfaitement tous les coins de la chambre de combustion, donnant
une meilleure combustion, moins de pollution plus de performances moins
de bruit etc ... ici à hauteur de 10 à 25%, mais si le
phénomène est bien maitrisé, surtout au niveau de
la production électrique (expériences de meyer) on peut
arriver à des 50% voir 75% ...
Pour le premier électrolyseur je me suis servi du PDF de WaterPoweredCar : hydrobooster
Pour
réaliser cet électrolyseur plaques j'ai utilisé un
boitier de filtration d'eau, de la plaque inox
récupérée et de la tige inox neuve ainsi que ses
boulons :
On conseille l'inox 304-S pour la production d'hydrogène, mais n'importe quel inox peut convenir pour commencer, comme le 316L pour l'alimentaire.
Il faut donc
plier les tiges à la bonne longueur (étau + marteau),
puis enficher les plaques une par une, Il faut que l'électrode
négative contienne le plus de plaques car c'est elle qui va
libérer l'H2, ainsi pour 7 plaques on connectera dans l'ordre :
- + - + - + - . Pour relier une plaque on utilise les boulons, pour les
isoler on utilise des rondelles en plastique (achetées aussi ou
fabriquées), pour isoler de la tige j'ai utilisé du tuyau
plastique coupé en tranche ...
ensuite on passe à la 2° électrode :
Il faut se servir d'une clé plate pour arriver à faire coulisser les boulons :
On arrive ainsi à ceci :
Il ne reste plus qu'à percer le couvercle pour faire sortir les 2 électrodes qui seront branchées au (+) et au (-), le remplissage du bulleur se fait par un robinet (en haut à gauche), un petit tuyau plongera au fond du récipient pour que l'air extérieur puisse décoller les bulles d'H2 des plaques, par simple aspiration / dépression du moteur, enfin la sortie passera par un bulleur, c.a.d. plongera au fond d'un petit récipient d'eau, ceci permet d'éviter les retours de flamme éventuels mais accidentels, qui seraient fatals à l'électrolyseur (BOUM).
IL FAUT PRENDRE CONSCIENCE QUE LE GAZ PRODUIT EST FORTEMENT ENFLAMMABLE !
Ce bulleur sert donc de clapet anti-retour, sinon il existe de tels clapets au rayon aquarium. On prendra soin aussi de mettre dans le couvercle, au niveau de la sortie du gaz, de l'éponge inox par exemple (éponge GRATTE-GRATTE) par exemple pour éviter l'eau éventuellement dans l'admission.
expérience 1 :
1 cuillère de lessive de soude (normalement à doser avec
un ampèremètre en ligne, 3% KOH seulement), 1 batterie
12V, interrupteur en ligne, sortie plongée dans une
éprouvette pour faire exploser le gaz produit .... mise sous
tension, les bulles sont produites ! mais les fils chauffent : trop
d'électrolythe incorporé (lessive de soude) !
cliquez sur l'image pour voir la vidéo :
Il faut donc respecter le schéma suivant avec relais forte puissance :
J'ai trouvé le relais 25A à carouf, l'ampèremètre chez norauto, le montage électrique type pulsations électroniques (PWM) : carte électronique 12V pour moteurs pas à pas (hacheur) sur ebay (DC MOTOR CONTROLLER ou PULSED) ou type désulfateur.
Procédure
: mettre de l'eau de pluie au dessus des plaques pour qu'elles soient
immergées. ensuite ajouter l'électrolythe, la lessive de
soude, jusqu'à lire une consommation de
l'amèremètre de l'ordre de 15 à 20A. Plus on met
d'électrolythe, plus l'ampérage est important plus
ça consomme et plus ça chuaffe, ce qui baisse le
rendement ... attention d'ailleurs pour l'avenir au niveau d'eau : elle
se transforme en gaz dihydrogène mais l'électrolythe
reste !
Avec trop d'électrolythe mis au PIF, le montage avait
dépassé les 100 ampères, les fils chuaffaient le
fusible aussi.
important aussi : bien mastiquer / jointer les raccords du couvercle au
niveau du tube d'air et des électrodes, car le montage monte en
pression en fonctionnement, on peut détecter les fuites comme
tout gaz avec de l'eau savonneuse.
Problème : apparemment ma "cellule" serait en 12V, c.a.d. avec 4 plaques (-) et 3 plaques (+) j'ai seulement 3 cellules en parralèle sur le 12V, donc chacune sous 12V, au lieu d'avoir des cellules sous 2 à 3V, le voltage idéal pour avoir un bon rendement de produciton de gaz par rapport à la consommation d'électricité. Il faut donc que je revois mon montage ... je pense garder mes 3 cellules mais les alimenter correctement sous 3V, avec un autre montage électrique, genre convertisseur DC 12V > DC 3V.
remarques : en
sortie de carte électronique, ça controle bien un moteur
12V on peut choisir la vitesse, l'électricité est
hachée en fréquence ... par contre en sortie les voltages
sont de type logarythmique, difficile donc de choisir 3V, meme
impossible : on passe de 1 à 10 sans rien faire ... à
essayer avec un potar linéaire, ou tout autre montage
électronique de toute façon, comme le désulfateur
... Aussi prometteur : directement branché sur l'alternateur, à voir si avant régulateur / redresseur ! ....
Expériences :
>Fabrication de bulles enflammables juste avec les 15
à 20A de conso lus avec la lessive de soude incorporée au
fur et à mesure (il en faut un tout petit peu). Sans le montage
éelctronique (cliquez sur l'image pour voir la vidéo) :
>Mise en évidence du caractère explosif du gaz (cliquez sur l'image pour voir la vidéo) :
à faire : relevé de la quantité produite, calcul
etc ... Mais déjà le gaz est inflammable et peut
être introduit dans un véhicule via le circuit d'air.
véhicules modernes et électronique embarquée : comment tromper le calculateur
Dernières expériences :
Réussite en tous points !
Le bulleur de sortie a été remplacé par un clapet
anti-retour d'aquarium (4€), un champ magnétique polarise
le gaz de sortie, toutes les connexions ont été
étanchéifiées au téflon gaz + mastic joint
auto :
Le bloc ampèremètre/interrupteur/fusible/circuit a
été compacté au scotch, le tuyau de sortie est du
tuyau de durite d'inejcteur diesel, raccord collés à la
colle "résist'a'tout" qui résiste à l'eau, la
pression la torsion etc ...
Résultats :
Le montage électronique permet vraiment de varier la production de bulles !
la position mini ne stoppe pas la production mais est + faible.
L'interrupteur stoppe vraiment la produtcion de bulles.
Tension mesurée aux bornes : 9.5 volts
Intensitée mesurée à la borne + : 25 ampères
Avec le montage on peut descendre à 6.5 volts et 15 ampères, mais la production de bulles est moindre.
prochaine étape : mesure de temps remplissage d'une bouteille d'un litre.
Prochaine expérience : montage sur le véhicule ! sur le conduit d'air, avant le filtre à air.
Il faudrait dans l'absolu une électrovanne, mais cela jouerait
sur la pression dans les tuyaux qui pourrait être néfaste.
aussi on conseille un pressostat; j'essaierai de monter un
manomètre de pression pour la mesurer ...
Viendront aussi différents montages électroniques s'ils
s'avèrent efficaces dans la production d'H2 et la consommation
minime de courant ...
Avancement :
Maintenant en ce qui
concerne le schéma électrique, j'avoue que je suis sur
d'autres chevaux de bataille, mais je vous laisse tout de meme ma
source d'inspiration, elle vient de M. Meyer qui inventa et
dévellopa ce procédé d'hydrogène de l'eau
mais avec un rendement tel qu'il put alimenter un moteur de voiture. Il
travaillait sur la fusion froide (chercher à "bingo fuel" sur le net, "hydroplasmol",
procédés qui clamaient la fin des centrales
nucléaires et leur rendement honteux) aussi et fut
assassiné en 1998 ... depuis personne n'arrive à
reproduire ses expériences, notamment si le circuit
électronique, difficile à réaliser peut
fonctionner, il reste apparemment un souci au niveau du transformateur
de courant, "entre autres" ...
l'invention de Stanley Meyer : VIDEO
Et pour rejoindre
ces expériences il est à noter que d'autres types
d'électrolyseurs existent, construits (et commericalisés)
à partir de cylindres (en inox toujours, 316L ou 304S) : par
exemple soit on place 6 cellules constituées chacunes de 2
cylindres (cas de la vidéo précédente de Meyer),
soit on réalise 1 seule cellule mais constituée de
plusieurs cylindres, c'est le cas de la Joe Cell (chercher à ce
nom sur internet).
Je vous propose 2 documents qui vous permettront d'avancer + vite,
notamment les schémas électriques qui ont l'air de
fonctionner :
Reprise de l'expérience de Meyer par Dave avec un alternateur de voiture
Suite (et fin) de la réplication de Dave par la Panacea University (Ravi's cell)
version parrallèle :
Le secret de la Joe Cell
Les électrodes cylindriques permettraient de disposer d'un meilleur champ magnétique, source du procédé, considérant la cellule comme un dispositif condensateur-inducteur ...
à suivre ! ...
ETAT DES LIEUX :
ok l'életcrolyseur fonctionne, le système
électrique à pulsation permet un controle de la demande
en gaz ... mais ce système ne comporte qu'une seule cellule, le
calcul théorique donne 20 litres de gaz à l'heure,
vérifié par la pratique (remplissage du'ne bouteille sous
l'eau et chronomètre).
Il apparait que les expérimentateurs sur moteurs essence
rencontrent des difficultés, car le moteur essence fonctionne en
mélange riche (l'excès étant insignifiant au
niveau de la richesse, ou imbrulés repartis en gazs dits
"d'échappement"), tandis que sur moteur diesel les performances
devraient être au rendez vous, car il fonctionne en
mélange pauvre, plus on injecte d'air plus on peut injecter de
carburant (principe du turbo); aussi les véhicules
équipés d'elecrtonique ne devraient pas observer de
performances (voir comment tromper le calculateur embarqué ).
>observations : l'életrolythe chauffe au bout d'un moment, il faudrait le refroidir ?
la tension diminue au fur et à mesure (voltmètre branché aux bornes de l'életrolyseur).
Je n'ai pas pu déterminer si le gaz fourni par le système
électronique permet d'avoir un gaz plus puissant, en faisant
exploser les bouteilles par exemple, ni l'influence du champ
magnétique en sortie, il faudrait faire d'autres
expériences ...
donc les essais s'arretent ici pour ce modèle.
Un modèle satisfaisant comportera plusieurs cellules pour une
production multipliée, sans changer le voltage, qui de 12V sera
divisé par le nombe de cellules, donc meilleur rendement
(voltage idéal 2 à 3V par cellule).
Ce modèle sera réalisé soit à partir de
tubes inox (récup chez le ferrailleur) soit à partir
d'une batterie modifiée (changement des plaques de plomb par
plaques d'inox, et de l'acide batterie par électrolythe).
Pour le montage électronique, il sera relié tout
simplement à l'alternateur de la voiture, mais sur les bornes
alternatives c.a.d. avant le régulateur qui redresse en courant
continu; ce simple courant alternatif sera déjà
supérieur en rendement ...
>Réalisation de ces modèles :
Un modèle à 1 cellule :............................Un modèle à plusieurs cellules :
(le précédent dévellopé) .........................(type batterie)
............
On voit que dans un système à plusieurs cellules, il faut
séparer les plaques de l'électrolythe, ainsi il n'y a pas
de courant de fuite dans l'életcrolythe, qui irait de plaque en
plaque ...
>Modèle à tubes inox.
Le principe des électrodes : .................ce qui devrait donner ceci (merci à Nlc de http://chaenel.free.fr/) :
.........................
Ici on utilise des tubes en inox, ils sont en forme de cylindre et
dévellopent ainsi un meilleur champ magnétique.
Chaque cellule est séparée par les tubes inox,
percés tout de meme vers le bas pour que l'électrolythe
remplisse uniformément chaque cellule; un petit trou admet un
courant de fuite négligeable pour le passage de plaques en
plaques.
L'envellope extérieure, dernier tube en inox, doit être
relié à la masse, et permet de refroidir le
système s'il ext exposé au courants d'air frais du
moteur.
les tubes inox peuvent être collectés directement chez le ferrailleur (comme d'habitude) :
Le reste du matériel : 4 tiges filetées pour maintenir
les tubes inox, à travers des plaques de résine (type
planche à couper les oignons), des rondelles de caoutchouc pour
l'étanchéité (chambre à air), une grosse
tige filetées pour l'électrode centrale reliée au
12V) :
>Modèle de type batterie
Sur chargeur une batterie produit de l'hydrogène, avec des
plaques de plomb et de l'acide sulfurique, le rendement n'est pas
optimum bien sur ... il s'agira donc de remplacer les plaques de plomb
par des plaques d'inox, et l'acide par l'électrolythe (toujours
eau de pluie filtrée + lessive de soude). On peut utilsier une
batterie de moto comme le fait l'auteur (merci à YanYan http://yanyan.26.chez-alice.fr/).
Il faut vider l'acide avec les précautions d'usage (lunettes,
gants etc ...) et découper à la scie (à
métaux ou électrique) pour ne garder que l'envellope :
... découper le couvercle proprement et y ajouter une sortie
étanche (en haut à droite), pour les batteries sans
capuchons, on peut utiliser les trous prévus à
l'échappement de l'hydrogène (sans soute sur clapet
anti-retour ?).
Reste à souder les plaques d'inox entre elles, ou à les
relier (tiges et boulons inox)", et les replacer dans "l'habitacle", et
de refermer de façon étanche le boitier, on peut aussi
utiliser 4 tiges filetées en périphérie.
DU NOUVEAU :
Un
commentaire d'un passionné anonyme qui arriverait selon ses
dires à 75% d'économie sur un scooter, à
méditer :
"
sur mon scooter je met une batterie de voiture en plus, separement,
pour envoyer assez de courant aux cellule; j'economise environ 75 % de
carburant.
3 cellules de style Archie blue en series, tuyau d'evacuation des
gaz de 18 mm, un peu de soude caustique en poudre et des bobines
limitatrices a 15 ampère.
alors : mes cellules fonctionnent comme des piles reliées
entre elles, l'ecart entre chaque plaque est de 2mm, il y a 7
plaques par cellule, 3 (+) et 4 (-).
l'ampèrage est environ de 15 ampère et je verse 5%
de soude dans chaque cellule (les cellules sont au nombre de 3 et
la contenance est environ de 1L par cellule).
alimentées par une batterie de voiture que je recharge assez souvent, + un interrupteur sur le guidon.
mais
le plus important, si vous avez suivis les traveaux de Meyer, il fait
un rodage de l'inox ce que j'ai fait avec mes plaques :
1 semaine branchées en pemanence sur un chargeur de batterie,
sans electrolyte, fixées sur des tiges filetées en inox :
une catode & une anode.
après se forme sur les plaques une pellicule blanchâtre :
ne pas essuyer, juste les nettoyer a l'eau deminiralisée.
l'eau utilisée dans les cellules est de l 'eau de pluie portée a ebullition.
j'utilise de l'inox 904L.
"
liens :
http://chaenel.free.fr/cmsimple/?Economies_de_carburant:Dopage_%E0_l%27hydrog%E8ne:Essais_pratiques
http://yanyan.26.chez-alice.fr/perso-22917.htm
http://waterpoweredcar.com/hydrobooster.html
http://waterfuel.100free.com/car_electrolyser.html
http://www.econologie.com/forums/electrolyse-amelioree-vt1228-1130.html
http://www.panaceauniversity.org/
http://www.thehydrogenshop.com/